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Kimchi doux façon koleslaw

Kimchi doux façon coleslaw

Prépa : 20 min. | Repos : 1 nuit | Fermentation:1 mois à plus

Ingrédients

Bien-être intestinal – Probiotique naturel

Kimchi doux façon coweslaw

  • 500 g Mix de légumes râpés: chou blanc, chou chinois, carotte.
  • Ou un reste de coleslaw (il y a juste un reste de raisons secs en plus et quelques tranches d’échalote déjà dans le coleslaxw)
  • En plus j’ai ajouté 1/2 pomme
  • 50 g de gros sel de mer
  • 1 cs de tamari ou sauce soja
  • 1 cc de gingembre
  • Quelques pincées de piment d’espelette

Méthode

Kimchi doux façon coweslaw

  1. Couper finement les choux, râper la carotte et la pomme avec la râpée à gros trous dans un grand plat, couvrir d’eau filtrée ou en bouteille, ajouter le gros sel, mélanger et réserver sur le plan de travail 1 nuit.
  2. Le lendemain, égoutter les légumes et les rincer.
  3. Les remettre dans le plat, ajouter la sauce soja ou tamari, le gingembre et le piment d’espelette, mélanger.
  4. Les verser dans un bocal à Weck en veillant à bien tasser les légumes afin d’éviter les bulles d’air. Le liquide va remonter au-dessus des légumes.
  5. Vous pouvez mettre un poids au-dessus afin que les légumes restent bien immergés. J’utilise un couvercle à Weck en verre plus petits afin qu’il rentre dans le pot.
  6. Fermer le pot, déposer sur une sous-tasse, ça risque de couler, c’est normal, c’est l’activité des bactéries. Laisser la magie opérer à température ambiante.
  7. Vous pouvez laisser fermenter 1 mois ou plus.

Astuces

Les produits lactofermentés permettent d’apporter des probiotiques de manière naturelle, de rééquilibrer la flore intestinales et donc de booster votre immunité de manière naturelle, mais aussi votre perte de poids ou tout simplement améliorer votre digestion (sauf avis contraire en consultation).

Pour bénéficier de leurs bienfaits, il est impératif de les manger crus.

La simple présence en abondance des bactéries commensales prévient, par compétition, une prolifération dangereuse des pathogènes. C’est ce qu’on appelle l’effet « contrabiotique ».